M'ask
Interview

SEAMS une révolution dans l’univers des mannequins

Aujourd’hui je vous propose une interview d’une mannequin professionnelle inspirante : Hélène Leduc.  Hélène est à la fois mannequin, assistante sociale et la fondatrice de la plateforme d’aide sociale SEAMS (anciennement M’ASK) qui accompagne les mannequins débutants et confirmés.

Une belle initiative que lui a valu d’être la lauréate de la 6ème édition du concours les audacieuses organisé par la Ruche.

 

Pour suivre cet interview vous avez le choix entre la version audio, vidéo ou texte! 🙂

 

 

Introduction

 

Nathalie Rey

Bonjour à tous! Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’interviewer Hélène, qui est mannequin professionnelle, assistante sociale et fondatrice de SEAMS, qui est un système d’accompagnement et d’aide sociale pour les mannequins.

Bonjour Hélène.

 

Hélène Leduc

Bonjour, bonjour.

 

Nathalie Rey

Merci beaucoup d’avoir accepté cette interview.

 

Hélène Leduc

Avec grand plaisir.

Présentation

 

Nathalie Rey

Déjà, dans un premier temps, est-ce-que tu pourrais te présenter?

 

Hélène Leduc

Alors oui, donc moi, c’est Hélène, comme tu disais. Du coup j’ai créé SEAMS, un service social dédié aux mannequins. Cette création vient en fait de mes deux expériences en tant que assistante sociale, de formation et mon métier de mannequin que j’exerce maintenant depuis dix ans et depuis quatre ans à temps plein.

Donc, j’ai pu remarquer pas mal de précarité dans le milieu, qui m’a fait réagir sur les besoins et ce que je pouvais apporter grâce à mes connaissances d’assistante sociale.

 

 

Hélène
Hélène fondatrice de SEAMS

 

 

Parcours

 

Nathalie Rey

D’accord. Et du coup, en fait, quel a été ton parcours? Tu as d’abord été mannequin? Comment ça s’est passé?

 

Hélène Leduc

J’ai été repérée à 17 ans. J’ai fait le concours Elite en Bretagne, puis finalement, ce concours m’a amenée jusqu’en finale France. Donc, je me suis retrouvée dans les dix finalistes. À l’époque, ce n’était pas encore mixte. C’était que les femmes et après ça, j’ai été prise directement en agence.

C’est comme ça que cela a commencé. C’était pour moi, plus une opportunité qui s’est ouverte à moi. Je ne m’étais pas trop intéressée à la mode avant ça. C’était vraiment la mode qui est venue à moi et puis moi, après, qui me suis intéressée à ce milieu-là.

 

Les études

 

Nathalie Rey

D’accord. Donc tu as commencé très jeune et tu as voulu, du coup, arrêter tes études? Poursuivre tes études?

 

Hélène Leduc

Alors, j’avoue que j’avais pas mal d’appréhension dans ce milieu-là. J’avais un peu peur que ça soit instable, que je ne puisse pas vraiment vivre de ce métier-là.

Et comme j’étais encore en études, j’ai voulu quand même terminer mes études, me dire que c’était peut-être bien d’avoir une licence avant de commencer à faire du mannequinat. Je pense que c’était plus la peur de rentrer dans le milieu et je n’étais pas prête, je pense non plus au niveau de ma maturité puisque je pense qu’on est mannequin, il y a aussi un peu de ça.

Et du coup, après ma licence, là, je me suis dit OK pendant plusieurs années, je l’ai fait quelques mois l’été pendant les vacances scolaires, et ça marchait plutôt bien. Je me suis dit qu’il ne faut pas louper le coche. Il faut tenter, faut tenter d’y aller à plein temps au moins un an et finalement, ça fait quatre ans et ça marche plutôt bien. Donc c’est une belle expérience.

 

Création de SEAMS

 

Nathalie Rey

Mais du coup, tu as aussi créé SEAMS. Comment ça t’est venu cette idée de créer cette plateforme?

 

Hélène Leduc

SEAMS, ça a pas mal évolué. Au tout début c’était vraiment pour essayer de lutter contre l’isolement que j’avais vraiment ressenti au tout début du mannequinat. Quand j’arrivais sur Paris, avec très peu de connaissances, très peu de liens entre les mannequins et très peu de soutien des agences.

Et au final, au fil du temps, je me suis dit en fait, c’est beaucoup plus qu’une question d’isolement. C’est une question aussi de méconnaissance du système français, du statut de mannequin. C’est aussi un manque de transparence entre les agences et les mannequins. Essayer de mieux se comprendre pour mieux travailler ensemble et aussi permettre, du coup, de créer du lien parce qu’il y a pas mal de problèmes de santé qui peut amener aussi dans le mannequinat et de pouvoir faire du lien entre les professionnels.

J’ai rencontré des médecins qui ne savaient pas forcément comment orienter une mannequin. Comment faire pour qu’il y ait un suivi entre médecins. C’est pouvoir aussi créer cette plateforme-là, ce lien entre le mannequin et les systèmes de santé en France, qui sont peu connus, surtout pour les étrangères et même les Françaises.

Quand on est plutôt jeune on ne sait pas trop où aller et il suffit que nos parents soient un peu loin, au début ça peut être un peu compliqué. Et puis même après, une fois qu’on est installé sur Paris, c’est toujours bon de savoir un peu son statut. Comment se débrouiller…

Je pense que SEAMS répond à des questions qu’on peut avoir un peu tout au long de nos carrières. En effet, autant au début qu’au milieu, qu’à la fin. Enfin, vraiment, pour le coup, on essaye d’accompagner les mannequins sur tous ces questionnements-là, personnels et professionnels, qu’on peut avoir pendant notre vie.

 

A qui s’adresse SEAMS?

 

Nathalie Rey

Et les mannequins que tu accompagnes, c’est à la fois des françaises, mais aussi des étrangères? C’est peut être aussi des mannequins couture et des mannequins commerciaux?

 

Hélène Leduc

Au niveau des profils sur les jobs, en effet, ça va être des mannequins autant très mode, que commerciaux. Il n’y a vraiment pas de profils qui ressortent.

Par contre, pour ce qui est de la nationalité, pour le moment, j’ai principalement des françaises, mais sûrement dû à cause du Covid alors que ça a un grand lien vu que les étrangères ne sont pas dans le coin. Je pense qu’en effet, l’intervention auprès des étrangères sera peut-être un peu différente, ça sera plus des accompagnements de bienvenue, d’explications sur pourquoi en France, ça se passe comme ça et pas forcément à l’étranger.

Et puis accompagner sur le système de soins à ce niveau-là. Mais pour le moment, c’est vrai que c’est principalement des françaises ou des résidents français. Du coup, des personnes qui ont des droits ouverts en France, un peu plus fort que quand on passe juste en coup de vent pour 2, 3 jobs.

 

 

Hélène M'ask

 

Les agences et les clients

 

Nathalie Rey

Et tu t’adresses donc principalement aux mannequins. Mais tu essayes aussi de toucher les agences et aussi les clients. Si j’ai bien compris.

 

Hélène Leduc

Alors là, pour le moment, on a développé SEAMS vraiment sur un système B to C, c’est à dire entre nous et les mannequins directement, avec des formules payantes auprès des mannequins.

Mais le but à moyen terme, c’est que ce service-là soit intégré au sein des agences pour pouvoir permettre aux mannequins de pouvoir y bénéficier grâce à leur employeur, et qui permettent à l’employeur d’avoir aussi la possibilité de se décharger sur l’accompagnement du mannequin au niveau social.

De pouvoir faire confiance à des professionnels du social ou de la psychologie. Mais de pouvoir aussi avoir une qualité de service auprès de leurs employés, les mannequins, justement pour renforcer les liens, etc. Enfin de pouvoir le vendre aussi auprès des clients.

Et, à l’inverse, les clients, en effet, ils pourraient être preneurs d’organiser certains évènements à leur nom. C’est leur proposer aussi de sponsoriser certains événements SEAMS pour les mannequins par la suite.

 

Tarif pour les mannequins

 

Nathalie Rey

D’accord, donc, le prix du suivi pour un mannequin à terme, ça serait d’être le moins élevé possible? C’est ça l’idée, plus ou moins ?

 

Hélène Leduc

Oui, c’est ça l’idée. Aujourd’hui, on a des prix dégressifs en fonction des situations des mannequins. Si elle est étudiante, il ou elle bien sûr, Etudiant qui touche le RSA ou non.

Si c’est une personne, un mannequin qui travaille plutôt bien, on a quand même une grille tarifaire en fonction des moyens de chacun. Et puis là, on a relancé les ateliers démasqué.

Donc, pour le moment, on part sur des ateliers vraiment à prix libre pour pouvoir laisser la possibilité à tout le monde d’en profiter. C’est vraiment des ateliers d’échange sur un petit groupe de mannequins pour pouvoir échanger sur des thématiques spécifiques.

 

Carrière de mannequin et SEAMS

 

Nathalie Rey

D’accord, et du coup toi, tu gères les deux de front. Tu gères à la fois ta carrière de mannequin et SEAMS quand tu as du temps libre.

 

Hélène Leduc

Oui, alors, aujourd’hui, j’avoue que j’essaye de me mettre un peu plus sur SEAMS. Ça fait deux ans que le projet est quand même en cours. Et c’est vrai que quand on a beaucoup de travail avec le mannequinat, ça peut être un peu compliqué de compenser sur SEAMS.

Cette année, les confinements ont fait que j’ai eu beaucoup plus de temps pour pouvoir développer SEAMS. Et à terme, j’aimerais vraiment que SEAMS soit on va dire mon activité principale, et le mannequinat, un plus, un secondaire. J’essaye d’équilibrer un peu les deux.

Pour le moment, c’est vrai que je gagne encore ma vie avec le mannequinat plus qu’avec SEAMS parce que pour le moment, c’est encore le début. Mais on verra bien comment ça évolue. Je n’ai pas envie d’arrêter totalement le mannequinat non plus, donc je continue.

 

Le suivi d’un mannequin par SEAMS

 

Nathalie Rey

Comment se déroule le suivi d’un mannequin?

 

Hélène Leduc

Alors ça, ça dépend vraiment des besoins des mannequins. On part d’abord sur une heure d’entretien où je vais vraiment partir sur le fait de détailler tout ce qui entoure la vie d’un mannequin.

C’est à dire que ça va parler de la famille, du côté financier, de la santé, du côté professionnel, des inquiétudes et des préoccupations qu’on peut avoir, et en fonction de ce qu’on va pouvoir relever dans chaque domaine. On va pouvoir travailler sur telle ou telle thématique. Donc, si en effet, un suivi social ne suffit pas et qu’il faut engendrer avec un suivi plus psychologique, on a des psychologues qui interviennent aussi, du coup chez SEAMS.

S’il y a besoin de suivi très spécifique, pareil au niveau de la santé, je vais avoir des partenaires, avec qui on a créé des liens très directs, avec des exceptions sur certains rendez-vous, qu’on peut avoir qu’en passant par masque, par exemple, avec le Centre de planification sur les consultations gynécologiques.

On a essayé de vraiment développer ce lien entre les différents établissements. On pourrait dire presque, en fait, moi, j’exerce un peu le rôle d’un médecin généraliste, mais dans le social, et que je réponds à toutes les questions qui sont générales. Mais dès que ça devient plus spécifique, je vais orienter vers des professionnels plus adaptés.

 

Un métier précaire?

 

Nathalie Rey

D’accord, et de par ton expérience, tout ce que tu as pu entendre, voir, pour toi le métier de mannequin, c’est quand même quelque chose d’assez précaire au final. Comment tu  le qualifierais ?

 

Hélène Leduc

Ça peut l’être, en effet parce qu’on a cette difficulté d’avoir des salaires instables. C’est aussi pouvoir comprendre en fait ce qu’on nous demande, la pression qu’on peut avoir. Pouvoir gérer ses hauts et ses bas, dans ce milieu-là.

Je pense qu’au bout d’un moment, on arrive à trouver un peu notre équilibre, mais il est possible dans certains cas, au début de la carrière où on est un peu perdu, on peut faire des erreurs.

Il y a aussi toute la question de la méconnaissance qui peut amener à faire des erreurs stratégiques sur notre façon d’être et de vivre le mannequinat. C’est vraiment éviter toutes cette précarité qui peut arriver tout au long de la carrière, en informant et en accompagnant le mannequin, avant que ça arrive.

 

 

 

Type de prestation préféré

 

Nathalie Rey

Très bien. Alors on va parler un peu de toi en tant que mannequin maintenant. Quel est le type de prestation que tu préfères faire en tant que mannequin? Et Pourquoi?

 

Hélène Leduc

Alors le type de prestation, je pense qu’au début, j’aimais beaucoup le défilé. Maintenant, je dirais clairement plus les séances photos où il y a un projet, où il y a un jeu un peu plus long.

En fait, quand on passe une journée à rentrer dans un rôle, par exemple, être la maman d’une famille ou quelque chose de plus commercial que ce que je faisais avant.

Vraiment, j’aime bien ce côté de rentrer dans un rôle, de jouer un personnage et d’être dans une dynamique un peu plus souriante. C’est quelque chose qui me plaît beaucoup plus aujourd’hui.

 

Type de prestation que tu aimes moins

 

Nathalie Rey

Et le genre de prestations que tu apprécies moins ou avec lesquelles tu accroches moins?

 

Hélène Leduc

J’ai eu beaucoup de mal au début avec les prestations en cabine, tout ce qui était fitting parce qu’il y avait cette problématique de rester debout. Je tombais assez facilement dans les pommes.

Donc pour moi, ça a été vraiment un challenge de réussir à trouver une solution pour tenir de nombreuses heures debout, immobile, avec des personnes qui me touchent autour, qui tournent autour de moi et me touchent un tout petit peu.

Mais voilà, ça, c’était quelque chose pour lequel j’appréhendais beaucoup. Encore aujourd’hui, ça va mieux, mais ce n’est pas forcément le job que je préfère.

 

Le plus gros challenge?

 

Nathalie Rey

C’est vrai que ce n’est pas le plus simple, effectivement. Est-ce que ça a été un de tes plus gros challenges ou est-ce qu’il y en a eu d’autres?

 

Hélène Leduc

Je pense que oui. Je pense que le plus gros challenge que j’ai eu, c’est sûrement celui-là.

Après le challenge ou je travaille encore dessus, c’est tous les jobs en vidéo. Parce que je suis très à l’aise devant les photos. Les vidéos, c’est encore quelque chose que je maîtrise un peu moins. L’apprentissage de la vidéo aussi, c’est un beau challenge et encore d’autres choses hyper intéressantes.

 

Une qualité, des qualités

 

Nathalie Rey

Et une qualité que le métier de mannequin t’a apportée?

 

Hélène Leduc

Il y en a plusieurs, il y en a plusieurs. Je dirais la patience. C’est une qualité que j’ai vraiment développée dans ce milieu-là.

L‘ouverture d’esprit aussi. Parce qu’en fait, on rencontre des gens de tellement de milieux complètement différents, qui viennent de partout et avec des regards totalement différents. Donc, je pense que ça aussi, ça a été un plus. Je pense principalement ces deux-là.

J’en avais une autre, mais j’ai oublié que je trouvais qui collait bien…Ah oui  l’adaptation. Aujourd’hui peut travailler n’importe où, avec n’importe qui, et je pense que ça, c’est un gros plus. Même en tant qu’assistante sociale, j’ai pu faire des jobs à court terme, dans des hôpitaux, par exemple. En fait, ça m’a permis de m’adapter très rapidement, de comprendre très rapidement ce qu’on me demandait de faire et de pouvoir agir vraiment, une adaptabilité beaucoup plus grosse que ce que j’aurais pu faire. Vraiment le mannequinat, ça apporte vraiment beaucoup là-dessus.

 

Plus beau souvenir

 

Nathalie Rey

Et ton plus beau souvenir en tant que mannequin?

 

Hélène Leduc

Mon plus beau souvenir? Alors, il y en a un, ça a été mon premier défilé avec le concours Elite. Je pense que c’est le plus beau, je sais pas, mais le plus marquant et le plus impressionnant que j’ai pu faire. Après, je pense que ce qui me tenait à cœur aussi avec le mannequinat, c’était de voyager. Et je pense que mon séjour en Australie et les jobs, la Fashion Week que j’ai pu faire la bas, qui a été très intense. C’est vraiment un énorme souvenir, vraiment exceptionnel.

 

 

Hélène Leduc projets

 

Projets

 

Nathalie Rey

J’imagine. Et quels sont tes projets dans les semaines, dans les mois à venir?

 

Hélène Leduc

Alors, les semaines, ça va être de continuer de développer SEAMS, de vous proposer le plus d’ateliers, de possibilités d’accompagnement. Dans les mois à venir, on va voir comment ça va se passer.

Normalement janvier, février, mars, ça reste quand même des mois assez fort dans le mannequinat. Donc, on va voir si j’arrive à avoir quelques jobs à ce moment-là, si les Fashion Week vont reprendre ou pas.

Et puis, en parallèle, ça sera aussi, bien sûr, de pouvoir proposer des activités en présentiel si possible. Vraiment continuer cette lutte contre l’isolement, contre la méconnaissance qu’on peut avoir en tant que mannequin actuellement.

 

Nathalie Rey

D’habitude, les ateliers que tu proposes, sont toujours en présentiel? Avec le confinement, tu n’as pas eu le choix, j’imagine. Mais normalement, c’est toujours en présentiel que tu proposes?

 

Hélène Leduc

Alors je le proposerais de deux façons, parce qu’il y a des mannequins aussi qui ne sont pas forcément sur Paris ou qui sont en déplacement pro et qui ont besoin d’être accompagnés même si ils/elles sont à distance.

Donc, il y aura toujours ce service à distance qui existera, mais c’est vraiment de le développer aussi en présentiel pour pouvoir créer un peu plus de liens entre les mannequins et de pouvoir travailler autre chose. C’est vrai qu’en présentiel, on ne travaille pas la même chose que en visio. Il y a une certaine distance qui se crée.

 

Dernier conseil pour les jeunes mannequins

 

Nathalie Rey

Absolument. Et un dernier conseil que tu aimerais donner à des mannequins qui débutent?

 

Hélène Leduc

Alors, qu’est-ce que je pourrais vous conseiller? Je pense, profitez, mais soyez prudent, faites ce que vous avez envie de faire. Et n’allez pas plus loin que vos limites. Il faut se sentir à l’aise dans ce milieu et chacun a ses limites. Il faut s’écouter soi, avant d’écouter ce qu’on peut nous demander de faire et savoir dire non. C’est très important dans le milieu.

 

Comment contacter SEAMS

 

Nathalie Rey

Merci beaucoup, Hélène. Alors je rappelle que pour te contacter, il y a deux choix. Soit sur Internet  www.seamssupport.fr ou alors sur Instagram @seams_france. Il y a un autre moyen pour l’instant de contacter?

 

Hélène Leduc

Non ces deux-là directement, sinon par le mail sur [email protected] Mais voilà, pour le moment, ce sont ces deux là. Les prises de rendez-vous peuvent se faire directement sur le site Internet ou du coup, en passant par Instagram. Vous trouverez en bio directement le site, aussi pour prendre les rendez-vous.

 

Nathalie Rey

Merci beaucoup, Hélène, pour cette interview. Plein de belles choses à toi dans tous tes projets, que tout se passe comme tu le souhaites, et même encore mieux.

 

Hélène Leduc

Merci beaucoup, bonne journée

 

Nathalie Rey

Merci, pareillement.

 

 

 

Si cette interview vous a plu, n’hésitez pas à me le dire et à me faire part de vos réactions et commentaires! 🙂

 

 

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6 commentaires

  • cédric

    Excellent interview , très étonnant pour le néophyte de comprendre l’isolement et le manque de suivi manifeste des mannequins. Merci les filles , c’est agréable de vous écouter !

    • Nathalie R

      Merci beaucoup Cédric pour ton commentaire! 🙂 Ravie que l’interview t’ait plu! 🙂

    • Nathalie R

      Merci Miren. Je te souhaite une belle continuation. 🙂

    • Nathalie R

      Je suis ravie si l’interview fut instructive pour toi Esther. Je te souhaite une bonne continuation. 🙂

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